Jai envie de comprendre La dépression de Soumaille, Suzy; Bondolfi, Guido; Bertschy, Gilles sur ISBN 10 : 2889410129 - ISBN 13 : 9782889410125 - Planete Sante - 2012 - Couverture souple Autreslivres de l’auteure dans la collection « J’ai envie de comprendre » : L’anxiété, Les allergies, La dépendance au tabac, La dépression Dr Valérie Piguet Responsable de la Consultation multidisciplinaire de la douleur dans le Service de pharmacologie et toxicologie cliniques des Hôpitaux Universitaires de Genève. Plus d Affectionredoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. ‎Health & Well-Being · 2012 Global Nav Open Menu Global Nav Close Menu Découvreztous les ebooks de la collection J'ai envie de comprendre à télécharger en PDF et EPUB et en lecture en ligne au meilleur prix sur compte retour × Affectionredoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. Au cours de leur vie, une femme sur cinq et un homme sur dix vont en faire la douloureuse expérience. Le poids de la dépression ne cesse d’augmenter, selon l’OMS, elle occupera en 2020 le deuxième rang des maladies avec le taux d Affectionredoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. Gestion des cookies Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation. . Description J'ai envie de comprendre... la dépressionLivre d'occasion écrit par Suzy Soumailleparu en 2012 aux éditions Medecine & ISBN / EAN La photo de couverture n’est pas contractuelle. En lire plus Etat Très bon état Auteur Suzy soumaille Editions Medecine & hygiene Année 2012 Langue Français Format Poche À propos de la boutique Le Lien LE LIEN, LA MAISON ROUGE 58240 LANGERON Dernière arrivée dans le collectif livre d'Emmaüs, Le Lien vous propose de donner une seconde vie aux bouquins invendus des groupes Emmaüs de la région Bourgogne Franche Comté. [Lire la suite] Les Garanties Label Emmaüs Paiement sécurisé Label Emmaüs vous procure une expérience d’achat en ligne sécurisée grâce à la technologie Hipay et aux protocoles 3D Secure et SSL. Satisfait ou remboursé Nous nous engageons à vous rembourser tout objet qui ne vous satisferait pas dans un délai de 14 jours à compter de la réception de votre commande. PRIX ÉTAT VENDU PAR FERMER Ça va vous plaire Voici une sélection de produits similaires Souvent considérée comme honteuse, parce que traduisant une fragilité peu en phase avec les valeurs de performance vantées par la société, la dépression nerveuse est souvent mal diagnostiquée. Getty Images S'il est normal de se sentir parfois triste, même abattu, il faut en revanche s'inquiéter lorsque cette mélancolie s'installe jusqu'à devenir un obstacle à la vie de tous les jours. Lorsque la simple perspective de se lever le matin paraît insurmontable, que les larmes se mettent à couler sans raison et que les idées noires se bousculent, alors il s'agit peut-être d'une dépression. 19% des Français vivront un jour une dépressionLa dépression est l'une des maladies psychiques les plus répandues dans le monde. Selon une enquête réalisée en 2005 par l'Institut National de la Prévention et de l'Education pour la Santé INPES, près de 8% des français de 15 à 75 ans soit près de 3 millions de personnes ont vécu une dépression au cours des douze derniers mois précédant l'enquête et 19% des français de 15 à 75 ans soit prés de 9 millions de personnes ont vécu ou vivront une dépression au cours de leur vie. Souvent considérée comme honteuse, parce que traduisant une fragilité peu en phase avec les valeurs de performance vantées par la société, la dépression nerveuse est malheureusement souvent mal diagnostiquée ou sous-estimée. Pourtant, elle nécessite un accompagnement psychologique, voire médicamenteux quand la souffrance est trop lourde, explique la psychanalyste Laura Gélin. Cette dernière nous liste les symptômes qui doivent absolument alerter, sachant, explique-t-elle, "que la dépression peut revêtir plusieurs visages en fonction des personnes qui en sont atteintes". Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement 1 - Un grand sentiment de tristesseEtre en dépression, ce n'est pas seulement avoir un petit coup de cafard, mais bien éprouver "un sentiment de vide", explique Laura Gélin. Une impression que décrit bien Isabelle, qui a souffert d'un épisode dépressif il y a deux ans "Il me semblait tomber dans un puits sans fond, que j'étais seule, que l'univers était hostile et que je ne pouvais pas lutter". 2 - Une perte d'intérêt pour les plaisirs quotidiens"Les sources habituelles de plaisir ne suscitent plus aucun intérêt, ce qui faisait du bien laisse indifférent", observe Laura Gélin. "Moi qui adorais prendre mon café le matin en terrasse, qui aimait aller à des concerts, j'ai peu à peu perdu le goût de tout", raconte Julien. "En fait, la notion même de jouissance disparaît", se souvient Isabelle, "on se souvient de cette sensation, mais on n'arrive plus à l'éprouver". Ce désintérêt touche également la libido, la plupart du temps "inexistante" pour Isabelle lors de sa dépression. 3 - Des troubles de l'appétit"Les troubles de l'appétit peuvent se manifester par une perte de poids, parce qu'on ne voit plus l'intérêt de manger, ou au contraire par des kilos en plus, parce que la nourriture devient un réconfort, indique Laura Gélin. "La seule chose qui calmait un peu mes angoisses, c'était de manger du chocolat, des gâteaux, n'importe quoi de sucré. J'ai pris 10 kilos en six mois, confie Isabelle. Anaïs, au contraire, qui sort tout juste d'"un long tunnel dépressif", "a fondu" "je ne me rendais même plus compte que je ne mangeais pas et je n'avais jamais faim". 4 - Des troubles du sommeilLà aussi, le sommeil peut être impacté de manières différentes, détaille Laura Gélin. "Pour certains, dormir représente un refuge, un moyen de fuir la réalité. Mais c'est un sommeil qui n'est pas réparateur. La fatigue est là, en permanence, malgré les journées au lit." D'autres personnes, poursuit la psychanalyste, se réveillent plusieurs fois par nuit, ou encore très tôt le matin. 5 - Modification de l'activité"Alors que j'étais super active, voire hyper-active, du jour au lendemain j'ai perdu toute énergie, j'ai cessé de m'investir au boulot et à la maison. Moi qui suis du genre à ne pas supporter le désordre, je ne rangeais plus rien", raconte Anaïs. "Une fois encore, il n'y a pas un seul schéma. On peut observer une léthargie ou à l'inverse une agitation excessive", commente Laura Gélin. "En la matière, trop et trop peu se rejoignent." 6 - Un ralentissement de la pensée"La dépression peut causer une difficulté à réfléchir, à se concentrer, à avoir les idées claires". En cause, la fatigue, le manque de sommeil, mais aussi la baisse des neurostransmetteurs comme la dopamine et la sérotonine. Julien, journaliste, se souvient ainsi avoir commencé à prendre son mal-être au sérieux après avoir constaté qu'il n'arrivait plus à écrire ses articles "Je ne trouvais plus mes mots, et je perdais le fil lors de mes interviews, comme si j'étais au ralenti." 7 - Une perte d'estime de soi"Il s'agit là d'une conséquence de la dépression plutôt que d'un signe", analyse Laura Gélin. "La dépression reste souvent mal perçue par l'entourage et d'une manière générale par la société, d'où une certaine culpabilité et une perte d'estime de soi." 8 - Des idées noires"C'est en cela que la dépression, la vraie, diffère d'une déprime et représente un véritable danger pour la personne qui en souffre", explique la psychologue. Isabelle confie en effet à demi-mots avoir pensé "au pire". Julien, s'il assure n'avoir jamais envisagé de se suicider, concède "des pensées très sombres, la crainte de ne plus jamais éprouver de la joie, de perdre son travail, de ne jamais guérir." 9 - Une grande fatigue inexpliquée"Je ne me suis jamais sentie aussi fatiguée", raconte Anaïs. J'ai pensé d'ailleurs dans un premier temps avoir une maladie incurable et il a vraiment fallu que mon médecin me fasse passer tous les examens pour que je finisse par admettre que c'était dans ma tête. 10 - Des manifestations somatiques"Parfois, la dépression est insidieuse. C'est alors l'inconscient qui parle à travers des symptômes physiques maux de tête, douleurs au dos, problèmes digestifs", décrit Laura Gélin. Isabelle a pour sa part souffert de crampes d'estomac, "de boule dans la gorge en permanence". "La dépression peut aussi diminuer les défenses immunitaires", ajoute Laura Gélin. Apprendre à mieux se connaître... "Il est dommage de constater que les traitements de la dépression se résument souvent à l'administration d'antidépresseurs, certes parfois indispensables, souvent dans le cas de dépressifs chroniques, mais qui étouffent en quelque sorte les émotions et ne permettent pas forcément de donner du sens à ce qui est un symptôme", regrette Laura Gélin. Selon elle, "on peut aussi, grâce à la thérapie, essayer de chercher ce que signifie un tel épisode, de comprendre pourquoi cela nous arrive. Trouver ce sens peut avoir pour effet la disparition définitive de ces symptômes. C'est un voyage douloureux, qui peut être long, mais c'est aussi la promesse de la découverte de soi, assure la psychanalyste. Et d'alerter "Si l'on se contente des antidépresseurs, les rechutes sont plus probables, parce qu'on a supprimé le symptôme mais pas la cause." Journaliste, Caroline Franc Desages est également auteur du blog Pensées by Caro Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Nous utilisons les cookies pour vous offrir une meilleure expérience utilisateur. Pour se conformer à la nouvelle directive concernant la vie privée, nous devons vous demander votre consentement pour sauvegarder des cookies sur votre ordinateur. En savoir plus. Basculer la navigation J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... L'ANXIETE par Bondolfi Guido Soumaille Suzy Symptômes, causes, diagnostic, traitements efficaces et prévention des rechutes connaître sa maladie est le premier pas pour sortir du cercle vicieux de l’anxiété. Résumé du livre - J'ai envie de comprendre... L'anxiété et les troubles anxieux A petites doses, l’anxiété est normale et même nécessaire. Elle nous protège contre les dangers et nous booste avant une échéance. Toutefois, quand elle se fait excessive, cette émotion devient nuisible. Anxiété généralisée, trouble panique, anxiété sociale, phobies, trouble obsessionnel compulsif chez près d’une personne sur cinq, les troubles anxieux induisent une souffrance ainsi qu’une difficulté à fonctionner au quotidien. A force de se faire du souci pour tout et pour rien, les angoissés accumulent les évitements et voient leur vie se rétrécir. Ils sont guettés par l’épuisement et la démoralisation, avec un risque élevé de basculer dans la dépression. Symptômes, causes, diagnostic, traitements efficaces et prévention des rechutes connaître sa maladie est le premier pas pour sortir du cercle vicieux de l’anxiété. Ce livre accompagne les patients tout au long de leur parcours vers le retour au calme. Il constitue aussi un soutien pour leurs proches, souvent démunis face à des peurs qui les dépassent. À propos des Suzy Soumaille est journaliste médicale, responsable du service des publications et rédactrice en chef du magazine Pulsations à la direction de la communication des Hôpitaux universitaires de Genève HUG. Autres livres de l’auteure dans la collection J’ai envie de comprendre» La dépression ; Les allergies ; La dépendance au tabac. Le Pr Guido Bondolfi est professeur associé de psychiatrie à la faculté de médecine de l’Université de Genève et responsable du programme pour les troubles anxieux dans le Service des spécialités psychiatriques des HUG. Ses intérêts cliniques et de recherche concernent la psychothérapie cognitive, les traitements intégrés des troubles anxiodépressifs et l’application des approches basées sur la méditation de pleine conscience en psychiatrie. Plus d’information ISBN9782889410118 AuteurBondolfi Guido, Soumaille Suzy Parution1 avr. 2015 Nombre de pages214 Format12x17 CollectionJ'ai envie de comprendre ThèmePsychologie TypeLivre Copyright © 2020 GROUPE MEDECINE & HYGIENE - All rights reserved. J’ai longtemps souffert de dépression au travail. Je me demande même si mon activité de salarié ne s’est pas déroulée qu’en état dépressif. Ce qui pose une question délicate si, comme moi, vous êtes concernée. Reconnaître que, sous toutes réserves, vous souffrez peut-être de dépression au travail. Alors, je ne vais pas jouer sur les mots. Qu’il s’agisse de dépression au travail, ou de dépression à cause du travail, ou encore de bore-out ennui au travail, ou que votre dépression au travail soit la conséquence d’un autre problème, cela revient au même. Le problème dans le problème, avec la dépression au travail, c’est que l’on s’en rend souvent compte quant il est tard. Voire trop tard. Mais est-ce vraiment trop tard? Ou est-ce un point positif que de s’en rendre compte longtemps après? Dépression au travail L’absence de reconnaissanceDépression au travail Le principe de causalitéSymptômes de la dépression au travailDépression au travail Symptômes physiologiquesDépression au travail La nécessité de changerDépression au travail Faites un testLe testLes résultats du testDépression au travail Et si vous faisiez un bore-out?Dépression au travail Le bore-out est-il l’inverse du burnout?Dépression au travail Comment reconnaître un bore-out?Dépression au travail Les symptômes du bore-outDépression au travail Pourquoi l’ennui au travail rend t’il malade?Dépression au travail Pourquoi le sujet du bore-out est tabou?Dépression au travail Comment se sortir de l’ennui au travail? Dépression au travail L’absence de reconnaissance Dans la société dans laquelle nous sommes, reconnaître que notre relation à notre travail nous est psychiquement douloureuse n’a rien de facile. La plupart des gens ne comprennent pas. Et je ne parle pas de certains employeurs, chefs de services, ou – soyons cruels -, petits chefaillons de service que cela dépasse, littéralement. Ces gens là ont toutes les peines du monde à comprendre comment elles mêmes fonctionnent, alors quant à comprendre les autres. Identifier une dépression sur le tard rend son traitement plus difficile. En soi, il n’est jamais trop tard pour bien faire. Cependant, plus vous avez d’éléments d’identifications, mieux vous êtes soignée. Je vais donc m’employer à vous délivrer un maximum de points d’appuis pour savoir si, oui ou non, vous souffrez de dépression au travail. La dépression au travail désignée par l’anglicisme burnout est un état d’épuisement professionnel qui combine une fatigue profonde, un désinvestissement de l’activité professionnelle, un sentiment d’échec et d’incompétence. Selon l’EDA European Depression Association, sur 7000 employés dans sept pays, 20% des employés en France ont été atteints de dépression au travail à un moment de leur carrière. En Italie c’est 12%. En Grande Bretagne 26% des salariés ou indépendants affirment avoir souffert de dépression au travail pendant leur carrière. Le travail et l’entreprise sont susceptibles de se transformer en lieux de souffrance morale. L’un des facteurs explicatifs les plus importants est la conjoncture économique actuelle. En effet, pour juguler les crises, plusieurs managers sont plus durs. Voire se rendent coupables de harcèlement. Dépression au travail Le principe de causalité De nos jours, la polyvalence est l’un des critères déterminants pour avoir de bons résultats et garder son boulot. Cadres et ouvriers se retrouvent donc sur plusieurs fronts à la fois. De multiples tâches leurs sont assignées. Pour chacune d’elles, une réactivité optimale est exigée. Que le salarié soit en CDD, CDI, ait un statut de travailleur intérimaire, ou soit fonctionnaire, la multiplication des tâches conduit à l’augmentation du risque d’affections. Et, partant, d’accidents du travail. Tôt ou tard, une personne sous pression permanente finit par craquer. Un boulot trop absorbant entraîne un déséquilibre total dans la vie d’un individu. Les changements permanents, auxquels les travailleurs font face, n’arrangent pas non plus la situation. Les personnes qui souffrent de dépression au travail ressentent une absence de reconnaissance par leur hiérarchie quant aux difficultés inhérentes à leur poste. Elles font face à des contradictions. Comme, par exemple, satisfaire un client tout en lui consacrant le moins de temps possible. L’ensemble des mutations économiques que subit le monde actuel oblige les travailleurs à vivre avec un degré élevé de stress au quotidien. Les facteurs aggravants sont la globalisation des marchés. La compétitivité accrue. Le développement des technologies de l’information. La précarité. Enfin, l’insécurité de l’emploi. L’augmentation de la charge de travail est le principal facteur de vulnérabilité. À cela, s’ajoute le manque d’autonomie dans l’exécution des tâches. Et aussi, le manque d’estime de la part des supérieurs hiérarchiques. Ou de l’employeur. Enfin, une communication insuffisante, ou dysfonctionnelle. Symptômes de la dépression au travail À cet épuisement professionnel, s’ajoutent des signes physiques. On constate une perte d’appétit, et du goût des aliments, chez les personnes souffrant de cette forme de dépression. La perte de poids, ou la surcharge pondérale, sont la conséquence de ces variations. D’autres personnes qui souffrent de dépression au travail ont une augmentation significative de leur consommation en sucre. Ce qui favorise une prise de poids parfois très importante. Augmentés de risques cardio vasculaires. Je pense à une consommation de tabac. Ou de substances psycho actives diverses comme l’alcool ou la cocaïne. Sur le plan de la sexualité, l’un des signes est la baisse de la libido. Les personnes victimes de dépression au travail perdent tout intérêt à une vie sexuelle. Cela mène souvent à une abstinence sexuelle totale. Certaines douleurs apparaissent. Maux de tête. Mal au dos. Douleurs musculaires. On remarque aussi des problèmes digestifs, et des ulcères d’estomac. Outre les symptômes physiques précédemment cités, certaines personnes, victimes de dépression au travail, ont des problèmes cutanés. Psoriasis. Eczéma. Zona. Elles souffrent régulièrement d’infections. De rhume. Parfois de la grippe, ou de sinusite. Dépression au travail Symptômes physiologiques Sur le plan physiologique, on constate Une démotivation constante par rapport aux tâches professionnelles à satisfaire Une irritation permanente trouble de l’humeur Des colères spontanées Des pleurs fréquents Un sentiment de frustration Le sentiment d’être incompétente et inutile Le besoin de s’isoler Le sentiment d’avoir une vie parsemée d’échecs Une difficulté à se concentrer De l’indécision, et de la confusion Des pertes de mémoire Des pensées suicidaires. Pour les cas les plus graves Dépression au travail La nécessité de changer Les hommes et les femmes souffrent en proportions presque égales de dépression au travail. Toutes les tranches d’âge sont touchées. Pour traiter la dépression au travail, retrouver un état de santé équilibré, et un sentiment de bien être satisfaisant, plusieurs types de traitements sont possibles. En général, un arrêt de travail se révèle essentiel. Cette pause, plus ou moins conséquente, permet de reprendre des forces. Il s’agit de se tenir éloignée d’un environnement toxique et pathogène. Ce repos, bien qu’essentiel dans le processus de la guérison, ne guérit pas de la dépression au travail. Si vous voulez reprendre le cours normal de votre vie, de profonds changements s’imposent. Ces changements se font dans votre milieu professionnel. Comme votre le mode de vie,. Je fais allusion au sens que vous accordez à votre travail. Comme dans votre façon de gérer le stress. Avant d’effectuer de tels changements, il est indispensable de consulter. Ou de vous référer à un spécialiste. Il vous aide à déterminer les solutions comportementales les plus adaptées à votre dépression au travail. Dépression au travail Faites un test Pour savoir si vous souffrez de dépression au travail, je vous suggère de consulter votre médecin traitant pour l’arrêt de travail. Puis un coach comportemental. Chacun établit un diagnostic. Puis vous orienter pour traiter votre dépression au travail dans les meilleures conditions pour vous. Avant de consulter, consacrez quelques minutes au test ci-dessous. Cela vous permet de préciser votre choix de consulter ou non. Prenez le temps de lire chaque question. Prenez un papier et un stylo. Lisez une question. Puis notez son numéro sur votre feuille. Enfin, à côté du numéro correspondant à la question, répondez le plus spontanément qu’il vous est possible par oui » ou non ». Le test Avez-vous moins d’intérêt pour les choses que vous appréciez autrefois? Êtes-vous triste ou vous sentez-vous sombre? Votre activité est-elle au ralenti? Êtes-vous incapable de rester tranquillement assise? Pensez-vous que vous n’avez pas de valeur ou ressentez-vous actuellement un sentiment de culpabilité? Y-a-t-il eu un changement dans votre alimentation? Avez-vous perdu ou pris du poids? Avez-vous du mal à vous concentrer et à réfléchir? Vos pensées et vos préoccupations sont-elles constamment tournées vers le passé? Avez-vous du mal à dormir ou à vous endormir? Estimez-vous trop dormir? Manquez-vous d’énergie? Ressentez-vous une envie de dormir tout le temps? Vous sentez-vous moins heureux/heureuse que la plupart des gens? Votre vie vous semble- t-elle vide, et dépourvue de sens en ce moment? Votre avenir vous semble-t-il sans espoir? Les résultats du test Si vous répondez plus de 7 fois Oui » à ces questions, alors j’ai le regret de vous informer que vous souffrez fort probablement d’une dépression au travail. Je vous suggère donc de consulter au plus vite. Ou d’utiliser un programme thérapeutique en ligne voir ci-dessous. In fine, d’entamer ce traitement comportemental adapté à votre situation. Un programme thérapeutique en ligne comme le Programme ARtUS vous aide à traiter votre dépression au travail, mais aussi tous les symptômes associés. En moins de 2 mois, sans médicaments. Dépression au travail Et si vous faisiez un bore-out? Le bore-out correspond à un syndrome d’épuisement professionnel par l’ennui. Il se différencie du burnout, car l’employée n’est pas épuisée par la surcharge de travail, mais par l’ennui qu’il ou elle ressent face à son travail. C’est un syndrome d’épuisement professionnel fréquent dans les grandes entreprises du tertiaire où beaucoup de métiers semblent ne pas avoir d’utilité concrète et immédiate. Il est important de noter que l’ennui au travail, le boer-out, affecte votre santé mentale de façon durable. A plus forte raison si aucun changement constructif n’est envisagé. Dépression au travail Le bore-out est-il l’inverse du burnout? On ne peut pas dire que le bore-out soit l’inverse du burn-out. Certes, l’employé qui souffre de bore-out s’ennuie, mais cela ne veut pas nécessairement dire qu’il n’a rien à faire de sa journée. Parfois, il est débordé de tâches abrutissantes et parfaitement inutiles. En revanche, le bore-out et le burn-out sont faciles à distinguer. La personne souffrant de burn-out est débordée par son travail, par les tâches qu’elle s’inflige d’accomplir. Son stress et son angoisse viennent justement de l’impossibilité d’y échapper, même en dehors des heures de bureau. Dans le même temps, cette même personne victime de burnout est aussi prise en otage par son anxiété de performance. La personne qui souffre de bore-out se sent enfermée dans un travail qui l’ennuie. Le stress et l’angoisse viennent davantage de la crainte de devoir passer le reste de sa vie à supporter cet ennui et cette absence de sens. Dépression au travail Comment reconnaître un bore-out? Le bore-out se manifeste de diverses manières et ses symptômes évoluent avec le temps. Généralement, on le reconnaît à l’ennui profond que l’on ressent face à son travail. Ce n’est pas un ennui face à une tâche longue, mais plutôt l’ennui face à une activité qui ne nous stimule pas assez. Il touche principalement les salariées qui ne sont pas satisfaites par leur position au sein d’une entreprise ou par leur travail. Puisque le mot bore-out vient de l’anglais bore», ce qui signifie ennuyer, on a tendance à se concentrer sur la quantité de travail à effectuer. On pense alors souvent qu’une employée avec de nombreuses tâches à effectuer ne peut pas souffrir de bore-out. Au contraire, un travail qui exige de longues heures de présence, mais ne procure aucune satisfaction intellectuelle ou personnelle, est plus susceptible de produire des au travail Dépression au travail Les symptômes du bore-out Comme le burn-out, le bore-out s’installe insidieusement dans le quotidien du salarié. Tant et si bien qu’il n’envisage le diagnostic que de longs mois après les premiers symptômes. Heureusement, on peut toujours agir contre le bore-out, mais on a souvent du mal à le diagnostiquer avant qu’il ne cause certains dégâts dans la vie professionnelle ou personnelle. Le premier symptôme du bore-out est une perte de motivation face à des tâches qui semblent répétitives et insuffisamment stimulantes. Ensuite, le salarié commence généralement à se désinvestir de son travail et à négliger la qualité des tâches qu’il effectue. Souvent, il développe alors un sentiment de culpabilité angoissant quand il constate le travail que font certains de ses collègues. Malheureusement, il ne peut que constater sa propre inutilité. Enfin, le bore-out provoque généralement de la tristesse et du stress. S’ennuyer toute la journée sans perspective d’amélioration et se sentir inutile est susceptible de provoquer des dépressions et de l’anxiété. Dans certaines entreprises mal gérées, le bore-out est utilisé pour se débarrasser de salariés que l’on ne veut pas renvoyer. C’est évidemment une stratégie de management punie par la loi. Encore faut-il être en mesure de le prouver. Dépression au travail Pourquoi l’ennui au travail rend t’il malade? Tout d’abord, on doit bien comprendre que tout le monde ne réagit pas de la même manière face à l’ennui au travail. Pour une petite minorité de travailleurs, être payé à ne rien faire est une situation tout à fait enviable. Généralement, ce sont des personnes qui ont des passions très fortes en dehors du travail, mais qui n’envisagent pas d’en faire leur métier. Pour les autres, l’ennui au travail rend malade pour plusieurs raisons. La plus directe et la plus évidente, c’est l’impact de l’ennui sur notre santé mentale. En l’absence de stimulations suffisantes, notre cerveau produit moins d’efforts et donc moins d’hormones. Parmi toutes ces hormones, on trouve évidemment celles responsables du plaisir et du bonheur. Surmonter une tâche longue et difficile, surtout quand le résultat est au rendez-vous, provoque un intense bonheur. Du moins, au regard du temps que nous passons à travailler, je le souhaite à toutes et à tous. Dès lors, on peut prendre en compte une raison plus diffuse et discrète, mais essentielle. Nous sommes nombreux à considérer le travail comme une part essentielle de notre vie. Il participe à la construction de notre position sociale et, par extension, d’une partie de notre égo. Exercer un métier sans avenir au bas de l’échelle hiérarchique dégrade l’image que l’on a de soi. À terme, cela provoque des dépressions et des troubles anxieux. Dépression au travail Pourquoi le sujet du bore-out est tabou? Le contexte économique dans lequel nous vivons depuis la fin du plein emploi rend difficile de se plaindre d’avoir un travail qui nous ennuie, surtout s’il est bien payé. On peut donc comprendre le tabou qui entoure le bore-out. En même temps, ce tabou ressemble aussi à une pression supplémentaire que l’on exerce sur les travailleurs. Effectivement, pourquoi un employé dont les capacités intellectuelles ne sont pas assez mises en valeur ne pourrait-il pas s’en plaindre? Cela nous amène à un autre problème autour du bore-out. Il affecte généralement moins les cadres ayant fait des études supérieures dans le privé, mais beaucoup plus les employés avec des diplômes inférieurs, comme une simple licence à l’université. On peut donc craindre que le bore-out révèle l’instrumentalisation de l’enseignement supérieur afin qu’il sélectionne pour les entreprises les futurs candidats aux plus hauts postes, quand bien même leur parcours s’explique par une position sociale avantageuse plus que par des compétences intellectuelles supérieures. Dépression au travail Comment se sortir de l’ennui au travail? Face au bore-out, on ne peut rien faire d’autre que de vaincre sa peur d’en parler pour instaurer un changement. Ainsi, vous pouvez commencer par explorer les autres opportunités de travail. Si vous n’en trouvez aucune à cause de votre formation insuffisante, je vous suggère d’explorer les offres de formation. Elles sont nombreuses et peuvent s’adapter à tous les types d’exigence. En plus, votre employeur ne peut pas vous refuser un congé formation le cas échéant. Enfin, vous pouvez également en parler avec votre employeur. Si vous vous ennuyez au travail et que vous savez où vos compétences pourraient être mieux employées dans l’entreprise, faites-en part à votre supérieur. Au pire, vous retournerez à l’étape précédente se former pour changer de travail, voire d’entreprise. Article rédigé par Frédéric Arminot, coach comportemental Spécialisé dans le traitement des problèmes dangoisse, d’anxiété, de dépression, de phobie, et de toc, il exerce depuis plus de 25 ans en qualité de comportementaliste. Ancien grand anxieux, et victime d’angoisses aux multiples conséquences des années durant, il a créé un programme de thérapie comportementale en ligne Le Programme ARtUS Cette méthode thérapeutique résout 16 cas sur 17, soit + 95 % de résultats. Frédéric Arminot Sortir de la dépression Est-ce que vous aussi vous vous mettez la dépression pour sortir de ta dépression 😖? Je ne peux pas vous compter le nombre de fois que j’ai réalisé que j’attendais beaucoup de moi par rapport à la maladie. D’un autre côté, je peux comprendre pourquoi nous nous mettons la dépression ! Nous n’avons qu’une seule envie c’est de sortir de la dépression ! Cependant, cette attitude et je pense que tu peux être d’accord avec moi est clairement de l’auto-sabotage et même est contreproductif par rapport à notre schéma de guérison 🙅🏾!N’avez-vous pas envie de ne plus souffrir des pièges de la dépression ? De diminuer vos difficultés du quotidien ? De sortir même de la dépression ?Alors pour réussir à faire cela et à ne plus vous faire autant de mal, voyons comment pouvez-vous arrêter de vous mettre la pression💪🏾. Pourquoi est-ce que je me mets la pression face à la guérison de ma dépression ?Sur quels sujets dois-je faire attention à ne pas me mettre de pression ?Comment limiter la pression que je me mets au quotidien ! Pourquoi est-ce que je me mets la pression face à la guérison de ma dépression ?Le rêve de chaque dépressif est tout simplement de faire de la dépression un lointain souvenir… N’êtes-vous pas d’accord avec moi 😅? De ce fait, sans nous en rendre compte, nous nous mettons une pression monumentale pour aller mieux et surtout le plus vite possible !Dans notre schéma de guérison🧠, il n’y a pas de place aux rechutes, aux moments plus difficiles et longs, à l’augmentation du traitement et même des fois à la prise de médicament🙅🏾‍♀ ? Pourquoi sommes-nous aussi dur envers nous-même ? Déjà parce qu’on veut sortir de la dépression, ne plus souffrir de la maladie💪🏾. Ensuite il y a des fois el regard des autres sur nous. Vous savez les personnes disant😫 tu es encore triste ? » ou Mais après tout ce temps, ne devrais-tu pas aller mieux ?». Déchirant n’est-ce pas ?Une autre raison est souvent liée à la vision que nous avons de nous-même. En effet, est-ce que quelques fois, vous avez l’impression de ne plus vous reconnaître… De ne plus savoir qui vous êtes ni même ce dont vous avez envie…Toutes ces raisons sont là pour nous dire qu’il faut s’en sortir et ajoute donc une pression sur nos épaules. Sauf que…Pour être claire, la dépression ne fonctionne pas du tout comme cela ! Il s’agit d’une maladie cyclique demandant beaucoup de temps pour s’en sortir. En conclusion, cette pression s’ajoute à la longue liste de poids que nous avons déjà lié à la dépression stress, angoisse, peur, idées négatives, fatigue, dévalorisation, manque de confiance en soi et j’en passe… Avec ce tableau un peu noir mais réel, comment faire en sorte d’ajouter de la bienveillance à notre vie❤ et retirer cette pression que nous nous mettons ? Sur quels sujets dois-je faire attention à ne pas me mettre de pressionLa pression 😫que nous nous mettons est une pression parce qu’elle est en contradiction avec la réalité des choses ! En effet, cela signifie que nous devons atteindre un objectif plus rapidement que d’habitude. Cependant, dans la vie tous les jours, il y a des bonnes pressions et des mauvaises. Par exemple des bonnes pressions face à la dépression c’est d’avoir un thérapeute🩺 ! Ne pas tarder pour en mettre un en place est important. De plus, à mon sens c’est la seule pression que nous pouvons nous mettre 😅! Par contre, les autres ne sont pas à faire pour les raisons temps de guérisonLe temps ⏰ de guérison d’une dépression se compte en mois et en année. De ce fait, vouloir se sortir vite de la dépression est naturel. Mais souvent il ne prend pas en compte la réalité de notre situation actuelle ! Pour sortir de la dépression, il faut mettre en place la méthode des 5A Accroitre sa connaissance sur sa dépression et sur soiAccepter sa dépression et ses nouvelles limitesAgir au quotidien contre sa dépressionAnticiper les difficultés du quotidien, les éléments déclencheursAvancer dans sa vie pour retirer les éléments néfastes à notre vieToutes ces actions demandent du temps ! Beaucoup de temps. En effet, en voulant sauter des étapes en se mettant la pression, nous ne nous donnons aucune chance de nous en sortir fixer un temps de guérison, c’est ne pas prendre en compte la réalité de la dépression et devoir travailler sur le point n°1 de la méthode accroitre sa de vouloir te faire du mal en te disant ces choses, mais définir une date de fin de dépression par soi-même c’est ne pas connaître la dépression. Donc cette pression est un manque de sortir de cette pression apprenons davantage sur la maladie !Les rechutesChaque dépressif a des rechutes ! En effet, elles font partie intégrante du schéma de guérison de la dépression. Le problème est qu’il y a peu d’explication sur les rechutes. Mais dans le processus de guérison, chaque dépressif a des moments plus difficiles mais avance néanmoins😖. Malheureusement pour nous, les rechutes sont signe d’échec ou de manque de force face à la dépression. Ces échecs apportent tellement de pression que je me souviens d’avoir plusieurs fois menti à mon psy pour ne pas avoir à augmenter mon traitement ! Alors que j’allais mieux depuis des semaines, ce moment down était devenu un coup de couteau dans mon cœur de dépressive !➡Les rechutes dans la dépression ne sont pas du tout un signe d’échec ou qu’on n’a pas été assez fort pour tenir le coup💪🏾. En fait, la réalité est que la dépression est cyclique et les cycles difficiles sont normaux et ne sont pas un signe de régression ! Je vous mets un petit post Instagram juste ici pour voir en fait que malgré les chutes on avance ! Si vous faites une rechute, parlez-en à votre psy🩺. Car une rechute plus vite elle est prise en compte et plus rapide sera la remise à pied. Si votre entourage ne comprend pas, sachez que vous avez avec vous une communauté de dépressif vivant exactement la même chose que vous. J’ai vécu la même chose que vous ! Alors ne vous inquiétez plus et faites de votre psy votre allié dans ce moment difficile !Les reprises de traitementsEn lien avec le point précédent, la prise de traitement est très mal vue en France. Vous savez que pendant longtemps, j’ai cru que j’avais choisi la voie de la facilité parce que j’avais pris un traitement ! En clair, le problème en France c’est qu’il y a une véritable stigmatisons des antidépresseurs 💊. De ce fait, en prendre est très mal vue… vous savez ma voie de la facilité !Vous voyez comment on se met la pression sur le point de vue de personne ne connaissant pas du tout la dépression !Le pire de cette histoire c’est que pendant longtemps🤦🏾‍♀️ j’ai refusé de dire à mon psy que je n’allais pas bien comme dit plus haut pour ne pas avoir à augmenter mon traitement. Pour faire simple, je voyais toute augmentation de traitement comme un échec😣. Est-ce que vous pensez la même chose ?Il est important d’expliquer que les AD ne sont que des béquilles et que nous nous battons contre notre propre esprit. Ce dernier biaisé par la dépression et ses symptômes. En effet, c’est comme ne pas combattre à arme égale ! Je prends un bâton et toi un fusil…➡Les AD💊 ne sont pas un signe de faiblesse ou de ne pas réussir à se sortir seule de la dépression. Vouloir en sortir seul n’est pas possible ! On s’en sort mais pas correctement. Il est vrai que ces propos sont durs mais si nous voulons bien faire les choses ayons une thérapie avec un bon thérapeute et mettons en place les bonnes actions en nous donnant du temps⌛. Comment limiter la pression que je me mets au quotidien !Maintenant, comment éviter de se mettre de la pression au quotidien ? Premièrement en commençant par se connaître mieux Est-ce que je me compare à qui j’étais avant ?Au bout de combien de temps je suis fatiguéQuand sont mes angoisses le matin ou le soir ?Est-ce que je suis capable de travailler ?Est-ce que je peux avoir une aide financière ?Est-ce que mo n planning est en accord avec ma force physiqueEst-ce que je suis capable de dire non au autres et à moi ?Ce genre de questions, vous permettrons de vous voir à l’instant T tel que vous êtes et pas tel que vous devrez être. En augmentant votre connaissance ce vous, vous saurez plus indulgent et avancerez étape par étape sur la voie de la guérison❤. Prends donc bien soin de toi avec bienveillance ! Tu gagneras ton combat contre la dépression 🏆 ! Tu aimes les articles du blog ? Tu souhaites recevoir plus de connaissances et plus de conseils ? Laisser un commentaire D'autres idées de lectures De la connaissance sur la dépression La dépression est un sujet tabou mais pas ici ! Tu trouveras tout ce dont du as besoin pour comprendre la maladie, en sortir et aider ton proche efficacement ❤. À ta disposition

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