Amour quiproquos, rebondissements, exotisme et revolvers, tels sont les ingrédients de ce boulevard moderne. Après plus de 1300 représentations et plus de 250 000 spectateurs à travers toute la France, “Les hommes sont des femmes comme les autres” continue d’élargir son public !! » Billet non échangeable, non remboursable.
Unemontre est un accessoire qui sera porté tous les jours, ainsi votre bien-aimé regardera le cadeau que vous lui avez offert tout au long de la journée. Les garde-temps ont longtemps été considérés comme un cadeau vraiment spécial et intemporel, en particulier à Noël.Occasions: fêtes des pères, cadeau d'anniversaire, cadeau de noël, cadeau homme, saint valentin, idée
Amour quiproquos, rebondissements, exotisme et revolvers, tels sont les ingrédients de ce boulevard moderne aux dialogues percutants et au rythme effréné. Déjanté, décalé, jubilatoire, "Les hommes sont des femmes comme les autres" est une comédie à 100 à l'heure, à voir en couple, entre amis, ou en famille. A Savoir :
EnFrance, les hommes sont responsables de l'écrasante majorité des comportements asociaux : ils représentent 84% des auteurs d'accidents de la route mortels, 92 % des élèves sanctionnés pour des actes relevant d'atteinte aux biens et aux personnes au collège, 90 % des personnes condamnées par la justice, 86 % des mis en cause pour meurtre, 97 % des auteurs de
DĂ©jantĂ© dĂ©calĂ©, jubilatoire, Les hommes sont des femmes comme les autres est une comĂ©die Ă 100 Ă l'heure, Ă voir en couple, entre amis, ou en famille. Tous les artistes de Les Hommes Sont Des Femmes Comme Les Autres. Fabrice Simon; Virginie Pothier • Marc Simon • Les pièces de théâtre Ă venir Ă Coulommiers . Les hommes prĂ©fèrent les emmerdeuses Ă
Inversionde la courbe Cancer du poumon : les femmes sont désormais plus touchées que les hommes
. Anne Hidalgo et Nathalie Kosiusko-Morizet Aujourd’hui donc France Inter ne reçoit que des femmes ! Oui, pour souligner l’inégalité que subissent les femmes dans les médias, et pour affirmer que l’objectif de parité est le nôtre dans quelques minutes nous allons recevoir une personnalité particulière qui a effectué un exploit qu’on avait l’habitude de voir réaliser par un homme. Mais Maud Fontenoy est accueillie ici, ce matin parce que c’est une femme qui a des choses à dire sur l’écologie. Des choses originales ! Seulement l’originalité de son propos et le caractère hétérodoxe de sa position n’ont aucun rapport avec le fait qu’elle soit de sexe féminin. En dehors d’un propos féministe plus affirmé chez les femmes, par une forme de corporatisme bien compréhensible, les actrices du débat public, ont de moins en moins un discours spécifique. Et c’est tant mieux. On le sait, depuis Margaret Thatcher, en fait depuis Aliénor d’Aquitaine ! les femmes politiques sont des hommes politiques comme les autres. Le prochain maire de Paris, quoi qu’il arrive, sera une femme et l’affrontement de deux femmes ne change rien à la campagne municipale. On s’y affronte avec autant de violence, de mauvaise ou de bonne foi, de je ne vous ai pas interrompu » et de vos chiffres sont faux », avec autant de projets et d’ambitions personnelles que les hommes. Quand même, les femmes politiques doivent encore, en permanence, prouver qu’elles ont le caractère et l’énergie pour le job ! Oui, Nathalie Kosciusko-Morizet s’est même crue obligée de préciser qu’elle était une killeuse », à destination des barons, mâles dominants de la droite parisienne, pour les rassurer sur sa capacité à mener une campagne si rude ! Mais, sur le fond, sur le programme et la nature des propositions, personne ne peut affirmer que s’il s’était agi de Robert Kosciusko-Morizet ou Gérard Hidalgo, les programmes auraient été différents. En ce moment, il semble pourtant nécessaire de rappeler que non, en dehors du sexe en lui-même et d’une corpulence moyenne il n’y a peu de différences entre les hommes et les femmes, autre que des constructions sociales. Qui partage cet avis ? En réalité, tout le spectre politique. Du FN représenté par une femme dont on ne peut pas déceler quoi que ce soit de sexué dans sa façon d’agir, au Front de Gauche qui a une tradition féministe solide et ancrée ! Pourquoi dés lors, une partie de cet échiquier politique refuse que dés l’école, sans nier la différence des sexes, on travaille avec les enfants sur cette idée d’égalité, on réfléchisse à tout ce qui entretient les stéréotypes donc les inégalités ? Il n’y a pas d’avis féminin ou masculin sur les déficits, sur la redistribution des richesses. La fin de l’originalité d’un discours politique féminin cantonné aux affaires de santé et de famille rend parfaitement incompréhensible les inégalités faites aux femmes pour l’accès aux poste de responsabilité. Maintenant Maud Fontenoy, ne me démentez pas en commençant vos réponses par en tant que femme je pense que les gaz de schiste c’est l’avenir » vous risqueriez de dire deux bêtises dans une même phrase !
Le 1 juillet à 2130 Tarif 17,50 € / Tarif réduit 15 €C’est pas toujours facile d’être une femme… Stéphane, trentenaire célibataire et plutôt macho en fera la douloureuse expérience … En se retrouvant dans la peau d’une superbe bombe latine pendant une nuit, Stéphane va se retrouver dans un imbroglio infernal avec la belle Joanna et son frère Bruno ; il devra se sortir de situations pour le moins très embarrassantes. Les ennuis commencent, et ils ne sont pas prêts de s’arrêter. Amour, quiproquos, rebondissements, exotisme et revolvers, tels sont les ingrédients de ce boulevard moderne aux dialogues percutants et au rythme effréné. Déjanté, décalé, jubilatoire, “Les hommes sont des femmes comme les autres” est une comédie à 100 à l’heure, à voir en couple, entre amis, ou en famille. Auteur Manuel Montero Artistes Manuel Montero, Pauline Joquel, Bastien Bernal Restauration obligatoire les vendredis et samedis Formule Tapas à partir de tapas, boisson et dessert Formule dîner traditionnel pour les groupes à partir de 8 personnes
444 Copié Géraldine Woessner 09h14, le 08 septembre 2016La presse quotidienne revient ce jeudi sur les hommes qui ont recours à la chirurgie esthétique au même titre que les matin en Une de vos journaux, on crie son ras le Parisien sexisme vous aussi, dites stop. Et pour le désormais ras-le-bol fiscal, il y a Libération qui nous annonce la ristourne Impôts un dernier geste pour la route. Mais cela suffira-t-il ? L’Opinion François Hollande le plongeon. Avec le dessin de Kak François Hollande sur son plongeoir, caleçon de bain à petits cœurs, prêt à faire le saut de l’ange. En bas, la piscine est remplie à hauteur de sa cote de popularité 12%. Et François Hollande qui s’inquiète c’est maintenant qu’il me faudrait une bonne le combat du jour. Avec un petit badge que nous présente le Parisien et qui, déjà , est arboré par Julie Gayet, c’est vous dire Sexisme, pas notre genre. Parce que le sexisme serait partout. "t’as mis ta petite jupe, t’as un truc à demander au boss ?" C’est le premier exemple qui vient. Avant les différences salariales. Avant, surtout, le constat que l’ambition féminine est souvent très mal vue… par les femmes elles-mêmes. Dans le Figaro, le docteur Ghada Hatem, gynécologue fondatrice de la Maison des femmes à Saint Denis, parle du sexisme auquel elle est confrontée, ces femmes dont les maris exigent qu’elles ne soient examinées que par un homme, ces femmes persuadées qu’elles ne valent rien et qui disent "je vais revenir vous voir avec mon mari parce qu’il est plus intelligent que moi". Mais y-a-t-il réellement une équivalence entre le sexisme ordinaire que subissent des femmes parfaitement à même de répondre et l’enfermement que dénonce le docteur Hatem ?Vêtement des femmesLe docteur Hatem dit son refus de considérer le burkini comme un vêtement anodin. "Se battre contre ce vêtement, c’est maintenir l’idée du respect de la femme, tout simplement". Et c’est bien de respect et de liberté dont il est question quand Le Parisien nous raconte l’agression d’un groupe d’amis aux abords d’une cité de Toulon. Parce que les 2 femmes portaient un short, elles ont essuyé de la part d’une dizaine de jeunes gens des "sale p…, vas-y, mets-toi nue !" Quand leurs conjoints ont appelé au respect, ils se sont fait violemment frapper sous les yeux de leurs enfants. Dans ce contexte où la pudeur des femmes redevient un enjeu, les propos de Najat Vallaud Belkacem dans l’Obs sonnent étrangement. Si elle se dit opposée au burkini au nom de la liberté des femmes, elle tient à marquer sa différence avec le premier ministre. "Manuel Valls a son identité politique, et moi, j’ai la mienne. Pour lui, l’essor de l’islam radical est le combat central. Pour moi, la société française est d’abord minée par le repli identitaire, le ressentiment à l’égard des musulmans". On ne sait pas si le port du short relève du repli identitaire, mais on va s’y sur le handicapQuestion d’égalité Le Conseil d’État, nous dit le Figaro, a donné raison au CSA qui refusait le passage gratuit d’un clip montrant des jeunes trisomiques heureux de vivre et intitulé "chère future maman". Le CSA demande une diffusion mieux encadrée et contextualisée, au motif que le choix d’adresser ce message à de futures mères risquait de générer un trouble de conscience et d’inciter des femmes à renoncer à l’avortement. "Cela devient tabou de dire qu’on peut être heureux avec des enfants trisomiques. Il y a de la suspicion et des amalgames avec le combat des pro-vie" déplore le Président du collectif de trisomiques. Quand le choix individuel d’une mère se confronte à un enjeu collectif, l’intégration des handicapés dans la société, ce n’est plus un problème juridique, c’est un problème moral qui nous concerne des vieux politiquesIl y a François Hollande, bien sûr, dont l’Opinion nous dit que son statut de Président est la seule légitimité et le seul prestige qui lui restent. "Pour qu’il y ait Brutus, encore faut-il qu’il y ait Cesar" persifle François Patriat, l’un des soutiens d’Emmanuel Macron. Mais l’ancien ministre ne gêne pas seulement le Président. Dans Le Figaro Guillaume Perrault nous décrit un François Bayrou en artiste déchu "un jour on remplit l’Olympia, le lendemain on court le cachet en animant un mariage au foyer rural Louis Aragon d’un petit village". Laissera-t-il sans lutter un moutard nommé Macron donner à ses thèses de toujours un air de nouveauté ?Les hommes sont des femmes comme les autres. La preuve par Paris Match qui nous raconte qu’ils sont de plus en plus nombreux à se précipiter sur les injections, et la chirurgie esthétique. Les quinquas souffrent d’être surnommés le vieux au boulot. Dès l’âge de 30 ans, on se dit qu’avec des poches sous les yeux, on a peu de chance d’obtenir une promotion. Espérons que cette injustice va émouvoir les grandes consciences en lutte contre le chroniques des jours précédents 07/09/2016 06/09/2016 05/09/2016
En se retrouvant dans la peau d'une superbe bombe latine pendant une nuit, Stéphane va se retrouver dans un imbroglio infernal avec la belle Joanna et son frère Bruno ; il devra se sortir de situations pour le moins très embarrassantes. Les ennuis commencent, et ils ne sont pas prêts de s'arrêter. Amour, quiproquos, rebondissements, exotisme et revolvers, tels sont les ingrédients de ce boulevard moderne aux dialogues percutants et au rythme effréné. Déjanté, décalé, jubilatoire, "Les hommes sont des femmes comme les autres" est une comédie à 100 à l'heure, à voir en couple, entre amis, ou en famille.
Quand le grand Georges se fait tout petit mais toujours aussi talentueux devant l'objet de sa vénération et de sa peur ultimes les les dernières considérations de Wolinski, insatiable croqueur de notre société dans les pages qu'il confie à Charlie Hebdo, Paris Match, L'Écho des savanes ou Le Journal du Dimanche, sur les Français et surtout? les Françaises. Puissante, libérée, riche, sans complexes, la femme de 2009 terrasse d'un regard ourlé de cils affolants le pauvre petit macho écrasé par sa beauté et sa puissance de caractère. Mais qu'elle soit banquière, personnalité politique ou jeune fille de tous les jours, une femme reste une femme, avec ses adorables contradictions et sa mauvaise foi parfois absolue. Qui d'autre que Wolinski oserait le leur dire ? Avec sa tendresse, son faux machisme et son appétit habituel pour les choses de la chair et de l'esprit,Wolinski signe ici une critique hilarante de la femme moderne, qui n'est en réalité qu'un long cri d'amour doublé d'une moquerie jubilatoire de l'homme moderne, dont fait plus que jamais partie le grand Georges... Découvrir un extrait
les hommes sont des femmes comme les autres