Pourquoi elle devrait enlever [son voile] au moment de ses interventions publiques, c’est peut-être la question qu’on devrait se poser », a lancé le jeune parlementaire sur Europe 1 ce 20 août 2010 à 0h00. Temps de lecture: 2 min. Selon Breitbart, une femme musulmane poursuit Disneyland pour discrimination aux Etats-Unis, après qu'il lui a été indiqué qu'elle Découvredes vidéos courtes en rapport avec femme voila oblige de enlever son voile sur TikTok. Regarde du contenu populaire des créateurs suivants : shaima_blr(@shaima_blr), BIG DANI(@dani.lsr), Chaïma 🤪(@31.chaima), FC(@francecoutume), Redazere(@redazere), leN👶🏽(@naelpatron), Yasmina’s_world 🦋(@layasminabou), Reina(@reina.dressing), Celane justifie en aucune façon à la femme musulmane ce comportement illicite. Si elle est obligée d'abandonner les études ou son travail ou sa fonction pour préserver sa chasteté, alors c'est un devoir de le faire. Elle n'enlève son foulard que dans une seule éventualité: si elle est obligée de travailler et qu'elle ne trouve aucun Unefemme portant le niqab doit comparaitre aujourd'hui devant la justice marseillaise pour avoir refusé d'enlever son voile lors d'un contrôle d'identité. Qui sont ces femmes qui portant le Tags: travail · vie · femme · Question : Une femme vit dans un pays européen et on lui impose comme condition, pour le travail, qu’elle retire son voile, est-il permis de retirer le voile pour la nécessité ? La nécessité ici est le travail en vue de gagner sa vie, car elle peut ne pas trouver de quoi manger si elle ne travaille pas ? . Des professeurs ont pris à partie des étudiantes voilées en septembre, dans une université à Paris et à Sciences-Po, à Aix-en-Provence."Vous comptez garder votre truc à tous mes cours ?", "Vous êtes un cheval de Troie de l'islamisme." A deux reprises, en septembre, deux professeurs s'en sont pris à des étudiantes voilées, dans deux établissements et deux villes bien distincts. Mais en ont-ils le droit ? Francetv info apporte des éléments de s'est-il passé ?D'abord, le 16 septembre, à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne. Une étudiante voilée a déclaré que sa professeure lui avait demandé, lors de sa première séance de travaux dirigés TD de géographie physique, d'enlever son voile pendant les exposés, parce que cela "la dérangeait". Contactée par Le Monde, qui a révélé cette affaire le 25 septembre, la professeure a nié les faits. Pourtant, des étudiants présents au cours ont cosigné une lettre, mise en ligne sur le site Islam et info, pour attester les dires de la jeune femme. Le président de l'université, Philippe Boutry, a reçu l'étudiante et s'est 29 septembre, une étudiante en première année à l'Institut d'études politiques IEP d'Aix-en-Provence Bouches-du-Rhône, a été accusée par un professeur d'être "un cheval de Troie de l'islamisme", en raison du voile qu'elle portait durant son cours d'histoire. "Je ne l'ai pas agressée, j'ai simplement fait remarquer à cette étudiante qu'elle gênait ses camarades en amphi. .. Elle est totalement manipulée", a expliqué l'historien, Jean-Charles Jauffret, à nos confrères de France 3 Provence-Alpes. Les étudiants ont regretté cet échange. Certains ont quitté l'amphithéâtre en signe de désapprobation. Le directeur de l'IEP est intervenu devant l'ensemble des étudiants, mercredi dit la loi ?En recevant l'étudiante de Paris-I, Philippe Boutry, "a présenté des excuses au nom de l'université". Selon Le Monde, il a regretté l'incident et l'interprétation erronée que l'enseignante fait de la loi de 2004. D'après ce texte, "dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit".Les établissements publics d'enseignement supérieur ne sont en aucun cas mentionnés, et se situent donc en dehors du champ d'application de la loi sur le voile. Mais ils restent soumis au principe de laïcité inscrit dans le code de l'Education. Il stipule que "le service public de l'enseignement supérieur est laïque et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l'objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions". Et en pratique, comment cela se passe ?Toutefois, on considère que les établissements supérieurs accueillent pour l'essentiel un public adulte, donc responsable. "Des personnes majeures peuvent revendiquer par certains signes ostentatoires leur appartenance à tel ou tel mouvement religieux", indique la Conférence des présidents d'universités CPU, dans son guide Laïcité et enseignement supérieur PDF rédigé en 2004."Pour autant, il ne s'agit pas d'un droit absolu, poursuit ce texte. Pour certains enseignements, le juge administratif a reconnu le bien fondé de tenues appropriées pour des raisons soit de sécurité, soit d'hygiène." Par exemple, les signes religieux, y compris le voile, ne doivent pas gêner l'exercice d'activités physiques et sportives, ou de travaux pratiques dans certaines matières scientifiques. Une tenue ne doit pas non plus gêner le contrôle de l'identité lors d'un devoir surveillé. Enfin, les étudiants ne doivent pas faire preuve de prosélytisme ou de propagande, sous peine de voir leurs actes sanctionnés."Aucune raison d'ordre religieux, philosophique, politique, ou considération de sexe ne pourra être invoquée pour refuser de participer à certains enseignements ..., contester les choix pédagogiques ainsi que les examinateurs", explique le règlement du Conservatoire national des arts et métiers, alors que des textes comparables ont fleuri à l'Institut national des langues et civilisations orientales, les universités Lille-III , Montpellier-I, Paris-VII ou faire respecter ces principes, le président peut adapter son règlement intérieur ou établir une charte, dans la limite de la loi de 2004. "Ce type de règlement constitue la base juridique dans le cas de conflits ou d'atteintes internes à l'établissement", précisait en 2013 Le Figaro. Mais il s'agit dans ce cas d'apporter une réponse à certains étudiants qui n'hésitent pas à récuser un examinateur ou une examinatrice au nom de la séparation des sexes soi-disant prônée par leur religion, et non au port du voile. Sur ce dernier point, François Hollande a simplement estimé, le 30 août 2013, qu'il "est possible d'intervenir sans qu'il soit besoin de texte supplémentaire". Le gouvernement affiche ses divisions depuis quelques jours sur les mères voilées lors de sorties scolaires. Retour sur la polémique et décryptage de la loi. Le Premier ministre Edouard Philippe s'est efforcé mardi 15 octobre de clore une polémique et de faire taire la cacophonie sur le port du voile islamique par les accompagnatrices de sorties scolaires en réaffirmant la primauté de la loi. Gouvernement et majorité se sont divisés ces derniers jours après le débat né des récriminations d'un élu du Rassemblement national contre une mère voilée qui accompagnait des élèves au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Aucun voile dans la société pour Blanquer Les propos du ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, jugeant après cet incident que "le voile en soi n'est pas souhaitable dans notre société" ont été approuvés autant que critiqués par des ministres et des élus de la majorité. Interdit à l'école Lors des questions d'actualité à l'Assemblée nationale, Edouard Philippe a rappelé que le voile islamique était interdit à l'école mais que la loi n'interdisait pas son port par des étudiantes ou des mères accompagnant les sorties scolaires. "On peut porter un voile quand on accompagne une sortie scolaire mais on n'a pas le droit de faire du prosélytisme", a-t-il dit, affirmant qu'en la matière, la loi n'avait pas besoin d'être changée. Le Président devrait s'exprimer Maintes fois annoncé depuis le début de son quinquennat, le discours du Président sur la laïcité et l'islam a toujours été reporté. Emmanuel Macron devrait pourtant bientôt s'exprimer. C'est ce qu'il a annoncé à sa garde rapprochée de l'Elysée selon BFMTV. Le chef de l'Etat ne devrait pas prononcer un discours sur la Laïcité mais davantage sur la lutte contre les communautarismes et la toutefois vouloir modifier la loi 1905. Que dit la loi ? Où peut-on porter le voile islamique en France ? Voici ce que dit la loi. Au travail. Les fonctionnaires n'ont pas le droit de porter un voile. Les agents publics au contact des usagers sont également soumis à une obligation de laïcité. Un employeur peut interdire le voile au travail. Sa décision ne doit pas être religieuse et il est dans l'obligation de la motiver. Il peut s'agir de contraintes de sécurité, d’hygiène, de santé... Depuis 2016, rappelle La Voix du Nord, une entreprise peut inscrire l'obligation de neutralité dans son règlement intérieur. Mais l'entreprise ne peut pas interdire le voile et autoriser la kippa par exemple. Les élues. Les élus n'ont pas cette obligation de neutralité. Une femme voilée peut très bien se présenter sur une liste électorale et porter son foulard pour siéger lors d'un conseil ou dans un hémicycle. Toutefois, comme le confirme le Nîmois Nicolas Cadène, rapporteur général de l'Observatoire de la laïcité, au Figaro "Elle doit l'enlever en tant qu'officier d'état civil. Une maire qui porte le voile doit le retirer le temps de célébrer un mariage." Les élèves et étudiantes. Le port du foulard est interdit dans les écoles, collèges et lycées publics. "La loi de 2004 interdit aux élèves le port de signes ostensibles. Les mineurs doivent pouvoir construire leurs propres idées sans pressions", continue Nicolas Cadène. Les étudiantes, en revanche, ont tout à fait le droit de porter le voile. Sorties scolaires. Les parents qui accompagnent les sorties scolaires peuvent tout à fait venir avec un voile. En 2012, la circulaire Chatel permettait d'empêcher les accompagnateurs de porter un signe religieux ostentatoire. Mais un an plus tard, le Conseil d'État a considéré que, dans ce cas, les parents ne pouvaient être considérés comme des personnes exerçant un service public. C'est la même chose pour tous les intervenants extérieurs à l'établissement. Dans l'espace public. Porter un signe religieux reste un droit dans l'espace public la rue, un jardin public, la plage.... Mais, depuis 2010, il est interdit dans les lieux publics de dissimuler son visage comme avec une cagoule, une burka, un niqab... 90 personnalités demandent à Macron de réagir Un collectif de 90 personnalités, parmi lesquelles l'acteur Omar Sy, demande "urgemment" à Emmanuel Macron de condamner "l'agression" dont a été victime la femme voilée prise à partie par un élu RN au conseil régional de Bourgogne, rapporte Europe 1. Publié le vendredi 26 août 2016 à 11h22 La loi votée en 2010 encadre le port de vêtements susceptibles de masquer le visage dans l'espace public et les lieux dans lesquels les signes religieux sont interdits. Les arrêtés municipaux appelés "anti-burkini" sont les mêmes que ceux qui proscrivent par exemple le fait de se promener torse nu dans les centres ville. Cela ne relève pas du domaine de la loi. Depuis 2010, **seul le port du voile intégral, c'est à dire qui recouvre le visage, est interdit dans l'espace public. **Ce n'est pas le cas du burkini, qui couvre les cheveux, une peu comme la capuche d'une combinaison de plongée, mais pas le visage. Interdire le burkini relevait donc de la compétence du maire, le motif invoqué étant ici le risque de troubles à l'ordre public. Comme pour toute décision administrative, des recours ont été entrepris. Devant le tribunal administratif, d'abord, puis, en urgence, devant le Conseil d'État. Qui, dans le cas de l'arrêté de Villeneuve-Loubet Alpes-Maritimes, a tranché et suspendu la mesure. Les textes de loi adoptés ces dernières années concernent en principe toutes les religions, mais visent surtout l'islam. Burkini les tenues interdites ou autorisées en France Le burkini En août 2016, plusieurs municipalités ont pris des arrêtés imposant sur les plages une tenue "correcte, respectueuse des bonnes mœurs et du principe de laïcité". Le "burkini" tenue de bain couvrant le corps des chevilles aux cheveux était visé en priorité. La burqa La France a été le premier pays européen à interdire le voile intégral burqa, niqab, avec une loi de 2010 qui interdit "la dissimulation du visage dans l'espace public" rues, mais aussi commerces, transports, mairies etc.. En cinq ans d'application, un peu plus de verbalisations ont eu lieu. Le voile à l'école "Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit", en vertu d'une loi de 2004. La laïcité de l'enseignement public est inscrite dans la Constitution. Plus fondamentalement, la laïcité de l'État français a été consacrée par une loi de 1905, qui lie ce principe au respect de la liberté religieuse. L'adoption de la loi de 2004, qui interdit aussi les croix ou les kippas, faisait suite à quinze ans de débat. L'université, les crèches L'interdiction du port du voile en France ne concerne pas l'université, mais elle fait régulièrement débat. Pour Manuel Valls, "il faudrait le faire" interdire le port du voile à l'université. Par ailleurs, la justice française a validé en juin 2014 le licenciement pour "faute grave" d'une femme voilée employée dans une crèche privée. Les députés avaient ensuite voté, en mai 2015, une loi sur le principe de "neutralité religieuse" dans les structures accueillant des enfants de moins de six ans. La fonction publique Dans la fonction publique, la loi oblige les agents à respecter une "stricte neutralité". La Cour européenne des Droits de l'Homme de Strasbourg a débouté une Française qui travaillait dans un hôpital public. Son contrat n'avait pas été renouvelé parce qu'elle refusait de retirer son voile. Des malades s'étaient plaints. Les entreprises privées La question du port du voile n'est pas définitivement tranchée sur le plan juridique. Rien ne l'interdit, en principe, au nom de la liberté religieuse. Certains employeurs s'y opposent toutefois, en particulier lorsque cela nuit à leur activité commerciale. La Cour de cassation, plus haute juridiction française, attend l'avis de la Cour de justice de l'Union européenne, à Luxembourg. L'affaire concerne une ingénieur voilée qui refusait d'enlever son foulard malgré les protestations d'un client, et qui a été licenciée pour faute grave. Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le. Ce dimanche 24 octobre, sur RTL, Eric Zemmour a réitéré son opposition au port de signes religieux ostensibles dans l'espace public. Dans les rues de Drancy, et filmé par CNews, le lendemain, il a échangé avec une femme voilée qui a retiré son foulard."Je ne serais pas président des femmes voilées". C'est ce qu'a assuré Eric Zemmour au micro de RTL ce dimanche, tout en rappelant que pour lui, dans l'espace public, il ne devait pas y avoir "de signes religieux ostentatoires, c'est tout". Ce 25 octobre, alors que Jean-Marc Morandini l'interviewait sur CNews, pendant une émission spéciale tournée en Seine-Saint-Denis où il a grandi, le polémiste a rencontré une femme cours de leur échange en pleine rue, à Drancy, cette dernière lui a demandé "Respectez la femme que je suis, non pas le foulard que je porte. Juste la femme que je suis". Éric Zemmour lui a alors demandé d’enlever son voile en direct. Celle-ci lui a rétorqué "Enlevez votre cravate, j’enlève mon voile". Chiche, lui a-t-il qu'il s’exécutait, Eric Zemmour a expliqué face caméra "je signale que la cravate n'est pas un élément religieux, et que donc elle ne signale rien de la religion". Et d'ajouter "j'attends toujours que vous enleviez votre foulard !"En face, la femme voilée, qui n'a pas reculé, lui a assuré "le foulard c'est la foi, c'est ce qu'on porte en nous ... tissu ou pas tissu, c'est le respect que l'on cherche. Je choisis de le porter, je choisis de le retirer, on ne va rien m'imposer, que ce soit vous ou quelqu'un d'autre. Je décide de l'enlever".Une fois la tête découverte, Eric Zemmour, satisfait a félicité cette femme "Et ben vous voyez là vous respectez la laïcité". Et celle-ci de lui confier "Vous me voyez, vous avez juste vu mes cheveux en plus, sinon c'est la même personne en face de vous, je n'ai pas changé monsieur Zemmour"... sans vraiment le convaincre. Une séquence qui devrait faire le buzz... Publié le 24/06/2011 à 0600 , mis à jour le 15/02/2022 à 1630 Le 30 mai dernier, lors de l’audience correctionnelle du tribunal de Béziers, une justiciable a été contrainte d’ôter son voile islamique pour rentrer dans la salle d’audience. Elle explique "Quand je suis entré dans la salle du tribunal, un policier m’a demandé d’ôter mon voile par respect pour la juge". Elle continue "J’ai accepté de me présenter à la barre avec un bandeau sur la tête. Rien dans la loi française ne m’interdit de me présenter avec un hijab. Seul Allah peut me demander de dévoiler ainsi ma pudeur." Celle qui se dit victime d’islamophobie s’est convertie à l’Islam il y a plusieurs années. Elle est décidée à porter très loin cette affaire. Elle compte signaler de tels comportements auprès de la Halde Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité comme auprès de la cour Européenne des droits de l’Homme. Au tribunal, on confirme qu’il a bien été demandé à cette personne d’enlever son voile pour se présenter devant la juge. "Comme cela est fait pour toutes les personnes qui rentrent avec un couvre-chef." Par ailleurs, cette même personne s’en ait pris vertement à la présidente du tribunal qui aurait dit "La circoncision était un acte de barbarie." Le fils de la plaignante s’étant converti à 10 ans à la religion islamique et ayant été circoncis, il y a peu. Mais dans la salle d’audience, personne ne se souvient de tels propos, ni les policiers, ni les avocats, pas même notre collègue présente lors du jugement de cette mère de famille. "On m’accuse de manipuler mon enfant car il s’est converti. Pour moi, ce n’est rien d’autre que du racisme. On en fait une affaire de religion." Mardi, la justice va donner une réponse au motif qui lui a valu d’être présentée à la barre du tribunal. "Je serai présente, mais voilée", dit-elle.

devant qui la femme peut enlever son voile